Burnet, William an Bernoulli, Johann I (1709.08.30)

Aus Bernoulli Wiki
Version vom 7. Februar 2017, 12:01 Uhr von Maintenance script (Diskussion) (Importing text file)
(Unterschied) ← Nächstältere Version | Aktuelle Version (Unterschied) | Nächstjüngere Version → (Unterschied)
Zur Navigation springen Zur Suche springen


Briefseite   Briefseite   Briefseite   Briefseite  


Kurzinformationen zum Brief       mehr ...
Autor Burnet, William, 1688-1729
Empfänger Bernoulli, Johann I, 1667-1748
Ort Rom
Datum 1709.08.30
Briefwechsel Bernoulli, Johann I (1667-1748)
Signatur Basel UB, Handschriften. SIGN: L Ia 654, Nr.9*
Fussnote Siegel



File icon.gif Monsieur

Il y aura environ un mois, que je receus l'honneur de votre derniere,[1] qui depuis avoir couru de Marchand à Marchand m'a trouvé à la fin à Rome; J'ay toujours attendu la reponse de M.r Craig, pour vous en faire une qui vous seroit agreable; mais je n'ay point encore eu de ses nouvelles depuis que je lui ay ercit de Genes. Ce qui m'oblige de vous ecrire asteur, c'est de vous feliciter sur l'accomplissement de ce qui est le sujet de mon mechant couplet et puis de votre tres joli reponse.[2] M.r Masson en a eu la nouvelle dans une lettre de son frere qui demeure à Dort en Hollande;[3] File icon.gif il lui ecrit que Messieurs De Volder et Hotton, tous deux etant morts, on avoit mis dans leurs places M.rs Bernoulli et Bourhaven, quelle joye pour moi; depuis ce tems cela, ce sont 4 jours j'y ay plus pensé, je vous proteste qu'à toutes mes maitresses mises ensemble, si vous y serez arrivé avant Noel, je vous y verrai; autre chose que j'espere, c'est que les premieres vacances nous vous verrons en Angleterre, où j'aurois l'honneur de vous escorter par tout. Excusez[4] Monsieur, la naiveté avec laquelle je vous exprime le transport que ces nouvelles m'ont causé. En attendant il faut que je vous demande une grace, qui est de me faire l'honneur File icon.gif d'une lettre touchant votre voyage en Hollande avec une enfermée pour M.r Leibnitz; l'adresse sera, si vous plait, Pour moi, Anglois, chez M.r Thomas Williams Marchand à Venise. Je m'y trouverai dans moins d'un mois d'ici. Comme vous faites des lettres, que vous envoyez à M.r Herman à Padoue, on fait apparement de meme pour ecrire à Venise, je ne crois pas meme qu'il les faille afranchir. Je vous souhaite et à Madame et à toute la famille toute la joye et felicité imaginable.

Vous ferez, s'il vous plait,[5] mes complimens à M.rs vos freres et neveu, et M.rs Werenfelds et Battier etc. de nos amis; Je suis Monsieur tres sincerement votre tres obligé et tres obeissant serviteur W. Burnet

Rome. 30 Aout 1709

File icon.gif

A Monsieur

Monsieur Bernoulli

Professeur en Mathematiques

à

Basel


Fussnoten

  1. [Text folgt]
  2. Der Brief Johann I Bernoullis mit dieser Antwort fehlt.
  3. Gemeint ist Dortrecht.
  4. Im Manuskript steht "escuzez".
  5. Das "plait," fehlt im Manuskript.


Zurück zur gesamten Korrespondenz